IVY Alexandra - LES DRAGONS DE L'ETERNITE - Tome 1 : Baine

Baine
Alexandra Ivy

Sortie le 18 mars 2016

Quatrième de couverture :

LA SÉRIE SPIN-OFF DES GARDIENS DE L'ÉTERNITÉ
Après un quart de siècle en cavale, Tayla a décidé qu'il était temps d'arrêter de fuir. Mais à peine a-t-elle posé ses valises que, Baine, le dragon qui la poursuit depuis tout ce temps la retrouve malgré ses sorts de protection. La jeune femme va alors découvrir qu'elle a une dette envers la terrifiante créature. Et celui-ci exige qu'elle le serve dans son harem. Mais il devient vite évident qu'il n'était pas le seul démon lancé à sa poursuite. Baine devra trouver un moyen de la séduire et de découvrir ses secrets... s'il ne veut pas la perdre pour toujours.

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Mon avis :

J’ai commencé le roman sans avoir lu de résumé et c’est avec surprise que je me suis rendue compte que nous sommes toujours dans l’univers des Gardiens de l’Eternité dont il est le spin-off. C’est très sympa, bien plus que les Gardiens en tout cas, mais ça ne vaut pas sa nouvelle série. On passe un bon moment sans que cela soit transcendant.

En cavale toute sa vie, la Sidhe Tayla décide de tenter le sort et de se poser enfin pour accomplir son rêve : ouvrir un salon de thé. D’autant qu’elle trouve pour cela une aide inattendue. Celle d’une gargouille gaffeuse, et oui notre Levet qui est de retour ici pour de nouvelles aventures. Sauf que la jeune femme n’a pas vraiment le temps de profiter de son bonheur tout neuf. Elle est rapidement retrouvée, à cause de la maladresse de Levet bien décidé à lui faire rencontrer son grand amour, par le dragon Baine auquel elle avait échappé vingt-cinq auparavant pour ne pas se retrouver dans son harem. Il n’est cependant pas le seul à convoiter la jeune Sidhe et ils doivent en découvrir la raison…

Le roman ne fait que 150 pages ce qui suffit amplement. L’action est omniprésente, la relation évolue très vite et on sent parfaitement la tension sexuelle entre les deux personnages. Mais l’intrigue générale est assez décevante et plus de pages nous auraient sans conteste ennuyées. Un roman qui représente donc une bonne distraction mais cela ne va pas au-delà…