Quatrième de couverture :Paul Atréides a triomphé de ses ennemis. En douze ans de guerre sainte, ses Fremen ont conquis l'univers. Il est devenu l'empereur Muad'Dib. Presque un Dieu puisqu'il voit l'avenir. Ses ennemis, il les connaît. Il sait quand ils frapperont. Ils vont essayer de lui reprendre l'épice qui donne la prescience et peut-être de percer le secret de son pouvoir. Il peut déjouer leurs plans. Mais il voit plus loin encore.
Il sait que tous les futurs possibles mènent au désastre. Il est hanté par la vision de sa propre mort. Et s'il n'avait le choix qu'entre plusieurs suicides ? Et s'il ruinait son oeuvre en matant ses ennemis ? Peut-être n'y a-t-il pour le prescient pas d'autre liberté que celle du sacrifice...