Dans les coulisses de Pygmalion Pygmalion était une maison méconnue encore il y a peu du grand public, si ce n'est peut-être qu'il est l'éditeur de George RR Martin (
Le trône de Fer) et de Robin Hobb. Or, depuis quelques mois, c'est devenu un incontournable, un éditeur que l'on voit partout, dont on entend beaucoup parler partout. A quoi est-ce dû ? Quelle est la nouvelle ligne éditoriale ? Une question parfaitement légitime lorsque l'on voit la diversité de leurs publications... Que vont-ils nous proposer de beau dans les mois à venir ?
Pour répondre à toutes ces questions, l'équipe Pygmalion a accepté de nous recevoir dans leurs locaux, situés Place de l'Odéon à Paris. Nous y avons été chaleureusement accueilli par la directrice, Florence Lottin, ainsi que l'attachée presse, Fanny Villiers. Voici ce qui a été dit...
Beaucoup de changements ont eu lieu en effet chez Pygmalion. L'ancien directeur a pris cette année sa retraite, c'est donc Florence Lottin, anciennement directrice éditoriale chez J'ai Lu, qui a pris les rennes de la maison. Une année charnière, puisque ce sont aussi les 40 ans de la maison. L'occasion de faire bouger les choses...
C'est une maison ancienne donc, magnifique, qui a un fond très très riche, mais qui était connue surtout pour ses titres Fantasy et Histoire. Et pour ses 40 ans, l'âge de tous les possibles, il leur a semblé important de montrer que c'est un éditeur qui a su toujours faire preuve d'
audace. Et c'est vrai. Quand Gérard Watelet a décidé de publier
Le Trône de Fer en France, c'était une très grosse prise de risque : c'est une masse, la traduction est difficile, il n'était pas encore adapté à ce moment-là et personne ne pouvait prévoir l'accueil du public. Il y a beaucoup d'autres exemples de cet ordre là. C'était déjà de l'audace. Et c'est le moment, pour les 40 ans, de le montrer, de le prouver et, pour ce faire, quoi de mieux que de changer un petit peu les choses, de se renouveler, mais avec cette même ligne qui tourne autour de l'audace. De tenter de nouvelles choses aussi.
Une plaquette de présentation des titres d'Octobre a été réalisée qui révèle le nouvel esprit qui souffle sur la maison. Un Pygmalion, c'est un guide, un mentor, quelqu'un avec qui l'on peut échanger. L'idée est donc d'offrir un très large choix aux lecteurs, de leur faire découvrir de nouvelles choses, dans des genres qu'ils n'avaient pas l'habitude de lire parce que justement ils ne seront pas estampillés par genres. C'est aussi d'
offrir du glamour, des livres capables d'embellir notre réalité. Car la lecture c'est ça... On y trouve aussi Marylin Monroe parce que c'est un des pygmalions de Florence Lottin (et effectivement Marylin est très présente dans le bureau de Florence...), quelqu'un de formidable et un modèle à suivre.
Au final, un seul terme peut résumer cette ligne éditoriale, aussi bien pour les fictions que les non-fictions, c'est
feel-good.
Une bonne romance érotique, un bon suspense psychologie, c'est du
feel-good. En en non-fiction, la nouvelle orientation s'appuie aussi sur l'ADN de Pygmalion, proche du développement personnel, de la spiritualité, de l'ésotérisme, des témoignages, des textes de philosophie qui nous donnent les clés du bonheur. Aussi du
feel-good.
Ce renouveau passe aussi par
plus de communications. Cet été ont donc été créés des pages
Facebook,
twitter et
instagram qui sont très actives. Elles nous renseignent sur les sorties mais aussi la nouvelle orientation prise par la maison. Des informations nous ont également été données sur l'équipe Pygmalion avec photos à l'appui. #LaDreamTeam c'est : #LaChef (Florence) #LAssistant (Quentin) #LEditrice (Colette) et #LaChargéeDeCom (Fanny). Des photos que l'on pourrait penser exagérées mais non, et les preuves sont là !
C'est cette orientation que l'on retrouve déjà dans
les parutions d'octobre :
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La Mort est une femme comme les autres, de Marie Pavlenko.Imaginez un monde où personne ne s'éteint. Imaginez un service de soins palliatifs où personne ne succombe. Imaginez un univers où la mort en a ras la faux et fait un burn out. Suivez le périple extraordinaire d'Emm, au cours duquel elle va découvrir la richesse de la nature humaine.
Ne vous laissez pas piéger par la légèreté du titre.
La Mort est une femme comme les autres n'est pas une énième comédie mais un ouvrage actuel et social. L'incroyable talent de l'auteur ? Traiter d'un sujet qui nous concerne tous avec décalage, humour et profondeur. Un ouvrage riche, inclassable et mortellement libérateur.
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Captive in the Dark, de CJ Roberts.Ce livre bouscule les codes habituels de la littérature et vous pousse bien au-delà de ce qui est confortable.
Elle a 18 ans lorsqu'elle est kidnappée par Caleb. Ce dernier travaille depuis longtemps à alimenter le commerce sexuel. Pourtant, ce rapt est différent, il a choisi sa victime avec soin : elle sera l'arme de sa vengeance.
Dans ce monde hostile, obscur et violent, ce huis-clôt étouffant, le bonheur est-il encore possible ?
Si le nom de
Grey est sur toutes les lèvres, rien ne vous a préparé à
Captive in the Dark, rien n'est comparable. Oubliez tout ce que vous avez lu (ou pas) pour découvrir LE nouveau phénomène.
Captive in the Dark est sombre, dérangeant et définitivement incontournable.
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Le Don d'ailleurs, de Geneviève Delpech. Autobiographie d'une médium.
« J'ai été et je suis la femme d'une figure marquante de la chanson française. Mais je ne me suis jamais sentie 'femme de'. Seulement moi. Justement moi. J'ai existé à ses côtés, avec et pour lui, mais pour moi et par moi également.
Là où les choses ont pris une tournure pour le moins spéciale. C'est quand mon don s'est invité de plus en plus fréquemment dans ma vie. Un don fulgurant, envahissant, contraignant et... merveilleux. Un cadeau empoisonné parfois, qui me dépasse moi-même.
J'ai tu ce don publiquement jusqu'alors. Un faisceau de conjonctures, heureuses et malheureuses, m'a décidée à parler.
J'ai l'ambition de faire rêver d'un ailleurs, d'une possibilité de paradis, »
Sceptiques ou éveillés, cette femme hors du commun a décidé de vous faire partager son expérience, son chemin spirituel pour vous offrir le choix de croire ou tout simplement d'élargir votre vision du monde.
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Douceurs angéliques, de Valérie Motté et Stéphanie Roze. Un petit livre illustré pour se sentir bien.
Une petite balade céleste tout en couleurs pour préparer Noël vous plairait ? C'est exactement ce que vous proposent Valérie Motté et Stéphanie Roze dans leur Douceurs angéliques. Un ouvrage de conseils pour éveiller sa spiritualité et illuminer les cœurs.
Au fil des pages, liez connaissance avec douze thèmes, de la créativité à la gratitude, incarnés par de magnifiques chérubins : l'ange du renouveau, de l'amour, du lâcher-prise, du pardon, des signes, de l'abondance, de la joie, de la bienveillance, de la lumière, de la tendresse et de la gratitude.
Découvrez la couleur, la pierre, l'arbre, la fleur et la citation qui sont associés à chacun pour finir par un magnifique mandala aérien et détendez-vous. Donnez une touche colorée à votre fin d'année !
Et dans celles de
novembre :
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Dictionnaire des cons et autres génies, d'Agathe Colombier-Hochberg et Samir Bouadi.Un dictionnaire des personnalités hors du commun, qui ne se sont pas toujours illustrés par leur philanthropie, mais ont durablement modifié l'histoire de leur pays.
« Ce livre aurait pu s’intituler le Dictionnaire des génies. Légendes, icônes, les personnages à qui nous rendons hommage ont, pour la plupart, marqué leur temps grâce à leur art, leur science ou leurs actes. Mais à y regarder de plus près, les choses ne sont pas si simples, car, un jour ou l’autre, ces personnalités hors du commun ont toutes dérapé, dit ou fait une connerie susceptible de réduire à néant l’oeuvre de toute une vie. C’est cet acte grandiose que nous souhaitons saluer, car grâce à eux, génie et connerie n’ont jamais été si proches, unissant par là même les créatures insignifiantes que nous sommes à ces êtres infiniment brillants… »
Neil Armstrong, Bono, Confucius, Salvador Dalí, Albert Einstein, Sigmund Freud, Victor Hugo, Michael Jackson, Napoléon, Le Père Noël, William Shakespeare, Voltaire, Zidane… Une soixantaine de conneries décomplexantes !
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Le Jardin d'Hiver, de Frédérique de Keyser.Une réécriture sexy de La Belle et la Bête.
« J’étais à la recherche de la poésie du brouillard qui transforme les choses, de la poésie de la nuit qui transforme la ville, la poésie du temps qui transforme les êtres… »
Photographe de presse indépendant de profession, photographe en toutes circonstances, Sophia n'est jamais très loin de son objectif. Malheureusement, faire reconnaître son talent n'est pas facile. Consacrant tout son temps à son travail et à sa passion, elle ne fréquente personne en dehors de sa meilleure amie, Annette.
Alors, lorsque le célèbre Sam Nahash, écrivain mystérieux que personne n’a jamais pu voir, la convoque, elle est plus qu’étonnée.
Et cette invitation n’est pas la seule surprise qu’il lui réserve…
Cette liberté dans les genres permet aussi de s'amuser aussi dans la fabrication. Cette notion de
feel-good doit aussi se retrouver dans
le livre-objet. Des
couvertures brillantes, souples ou dures, des illustrations en relief, des dorures, des formats différents. A chaque roman sa personnalité graphique, avec en continu, le logo
Pygmalion qui a été remanié pour les 40 ans mais qui conserve son identité : deux visages qui regardent dans la même direction mais qu'on peut interpréter différemment en fonction de sa sensibilité.
Douceurs angéliques, de Valérie Motté et Stéphanie Roze L'autre point fort de la nouvelle ligne éditoriale, c'est de proposer des plumes. Parce que
les auteurs français sont de plus en plus talentueux, parce qu'ils ont su s'inspirer des codes anglo-saxons avec lesquels nous sommes bercés depuis l'enfance, et qui le font à leur sauce et avec talent. Des auteurs français qui ont une plume particulière, qui méritent d'être publiés sans les enfermer dans des genres, et qui gagnent à être lus et connus. C'est ce que Florence Lottin avait déjà amorcé chez J'ai Lu (collection semi-poche) il y a peu de temps. Ce sont des auteurs auxquels elle croit depuis longtemps, qui ont beaucoup de talent, et qui ont accepté de tenter l'aventure du grand format. Ils le méritent complètement. Plutôt que de les enfermer dans un genre. Parce que ça dépasse cela et que cela peut plaire à un autre lectorat. C'est aussi une collection qui imposait trop de barrières, barrières qui n'existent pas chez Pygmalion. Marie Pavlenko, par exemple, n'aurait jamais pu y trouver sa place. De même que pour
Captive in the Dark. Il était impossible de le proposer dans des collections qui ont déjà leur public fidèle, un public qui peut être très conservateur, réfractaire au changement ou à l'audace. Florence a encore en tête les messages de lecteurs mécontents qu'ils ont reçus après la publication de la série
Houston, de Maya Banks, en Passion Intense. Ce qui est compréhensible parce qu'on flirte avec les limites de la collection. Avec Pygmalion, aucune limite, aussi bien dans les genres que les lectorats. CJ Roberts a un talent incroyable, rare. Malgré le sujet dérangeant, psychologiquement tout se tient. Tout est parfaitement maîtrisé. Ce n'est pas n'importe quel titre et il aurait été trop dommage de passer à côté.
---> C'est donc cela
la ligne éditoriale Pygmalion. Il y a un fond qui est pris en compte mais avec une orientation très différente. Le but c'est de marquer les esprits tout de suite, de montrer la nouvelle direction prise, le renouveau. L'objectif de toute cette ligne finalement c'est de porter des noms, des auteurs, des histoires que l'on a envie de retrouver, parcourir, et qui nous font du bien, quel que soit le thème apporté. Du
feel-good tout simplement !
Pas de classifications par genres donc, pas de sous-collection, pour conserver une véritable ouverture. Au lecteur de se laisser guider par la couverture et la quatrième de couverture.
Pygmalion ce sera aussi
25 titres à l'année, fictions et non-fictions confondues. Chaque titre est donc extrêmement pensé, soupesé. Dans l'immédiat, à part les suites de série, il n'y aura pas de fantasy ou d'Urban fantasy. Il y aura aussi bien plus de titres d'auteurs français qu'étrangers, toujours dans l'idée de faire découvrir de très belles plumes nationales.
Et 2016 ? Qu'aura-t-on de beau ?Il ne peut être révélé avec certitude que jusqu'en février.
En Janvier :-
Une biographie de Daniel Balavoine, pour les 30 ans de sa mort. Parce qu'il n'y a pas plus amoureuse de Balavoine que Florence Lottin sur Terre. Mais surtout, parce que c'était un homme de valeurs qui avaient beaucoup d'engagements. Cela leur a semblé important aujourd'hui, dans la société actuelle, qu'on redécouvre ses valeurs ou qu'on se les rappelle. Il avait déjà des révoltes et des questionnements sur des choses qui se sont amplifiées aujourd'hui. Et on se rend compte que rien n'a été réglé, tout s'est aggravé au contraire. Il nous manque donc aujourd'hui. Une manière de le ressusciter et surtout de ressusciter ses valeurs et ses combats...
- Un roman de
Vanessa Terral, Le Gardien de la Source. Il s'agit d'une revisite du mythe de Perséphone et Hadès, transposé au XIXe siècle, le tout dans un style et une écriture qui ont beaucoup plu à toute l'équipe.
Vanessa Terral a déjà publié de nombreux nouvelles et romans et sa plume plait énormément à Florence qui a tenu absolument à la compter parmi les auteurs Pygmalion.
- Le prochain
Robin Hobb, le tome 3 du
Fou et de l'Assassin (le 3e Cycle de
l'Assassin Royal).
En Février :-
La Proie du Papillon, du Stéphane Soutoul.Florence suit depuis très longtemps la carrière de Stéphane, qu'elle décrit comme l'auteur le plus organisé qu'elle ait pu rencontrer. Il y a quelque chose qui lui a toujours plu dans son univers. Et il a enfin fini par lui proposer un ouvrage qui est un véritable coup de coeur.
Pour faire une synthèse assez rapide qui ne traduit pas toute la richesse et l'originalité du roman, il s'agit d'une revisitation des
Liaisons Dangereuses, ou plutôt de
Sexe Intentions, avec une petite touche du
Diable s'habille en Prada. Mais malgré ces références, cela ne vas pas du tout se passer comme on peut se l'imaginer.
On suit Judith, qui est la narratrice. C'est une femme puissante et dominatrice, grand magnat des médias, qui aime placer tout sous son contrôle et que tous lui obéissent. Et voilà qu'arrive une jeune femme que tous s'accordent à trouver belle, gentille, douce et serviable. Tous l'adorent. Judith la voit donc aussitôt en rivale et la déteste. Elle décide alors de faire appel à une Société Secrète dont on lui a parlé il y a peu, « Les Fils d'Eros », dont les membres sont réputés pour leurs capacités de séduction et donc leur aptitude à détruire émotionnellement les ennemis de leurs mandataires. On lui envoie donc celui qui se fait nommer Le Papillon. Mais rien ne se passe comme prévu...
Le roman est complètement atypique, inclassable, d'abord parce que nous n'avons que le point de vie de Judith, une femme machiavélique qu'on va adorer détester. Il contient aussi de nombreux éléments de suspense qu'on ne voit absolument pas venir et qui nous bluffent jusqu'à la dernière seconde. Stéphane est brillant mais a un petit côté très sournois... (dixit Florence...
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L'ami d'éternité, de Victoire Theismann, la meilleure amie de Bernard Giraudeau.
Comédienne puis psychanalyste, elle a éprouvé le besoin de faire le deuil de son ami par l'écrit. Il n'avait pas du tout vocation à être publié à la base, juste de poser des mots sur son deuil. Elle l'a fait en forme de lettre ouverte à cet ami. Cette lettre c'est surtout le récit d'une amitié au long cours, d'un soutien, d'un engagement. Qu'on aime Bernard Giraudeau ou pas, on ne pourra rester imperméable à cette histoire d'amitié et aux émotions qui transparaissent. C'est une histoire universelle.
C'est aussi un soutien à une association que défendait Bernard Giraudeau pour les malades du cancer.
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Chamane, de Géraldine Coreia.
Elle était journaliste spécialisée Finance et Economie. Elle a aussi été interprète lors de grandes conférences. A la veille de ses 40 ans, elle a éprouvé le besoin d'un changement, d'une révolution. Elle a donc voyagé et au cours d'un séjour en Amazonie, elle a découvert le chamanisme. Pour simplifier c'est une forme de méditation à travers la nature, qui a de plus en plus d'adeptes à travers le monde. Et elle est devenue aujourd'hui l'une des rares femmes chamanes occidentales. Elle nos révèle donc pourquoi elle a choisi cette spiritualité là, de quelle manière elle l'applique et donne aussi des clés pour le faire de manière prudente, sans tomber dans les dérives.
En mai,
le tome 2 de la série Dark Det de CJ Roberts, Seduced in the Dark, sortira.
Et il faudra attendre moins d'un an avant
l’Épilogue (peut-être même en 2016). Un tel délai parce que Florence a tenu absolument à conserver le même traducteur, et l'on en remercie.
Le choix de la traductrice (Paule Duverger) a d'ailleurs été capitale. De nombreux termes du roman n'ont pas d'équivalents en français alors qu'ils sont extrêmement importants. C'est notamment le cas pour
Pet et
Kitten, les surnoms que Kaleb donne à Livvie. Le choix des termes français a été le fruit de nombreuses réflexions en collaboration entre la traductrice et l'équipe.
Les couvertures originales ont été conservées car elles sont magnifiques et sont devenues une part identitaire de la série. Ils s'interrogent encore juste sur la couverture de
l’Épilogue qui représente un dos masculin marqué de cicatrices. Il y a encore beaucoup de réticences sur les nus masculins sur les couvertures en France et ils ne savent pas encore s'ils vont la conserver, mais ce sera sans doute le cas.
Très belle annonce aussi :
Tarryn Fisher devient une auteure Pygmalion ! The Opportunist, son roman phare, devrait paraître à l'automne, mais la date n'est pas encore définitive.
Résumé :
Olivia Kaspen vient tout juste de découvrir que son ex-petit ami, Caleb Drake, a perdu la mémoire. Avec une réputation d'opportuniste déjà bien installée, Olivia doit décider jusqu'où elle est prête à aller pour récupérer Kaleb. Luttant pour garder sa véritable identité et leur passé sordide secrets, le plus grand obstacle va se révéler être l'horrible nouvelle petite amie de Kaleb : Leah Smith. Une vicieuse compétition s'engage alors entre les deux femmes pour conquérir un homme qui ne se souvient même pas d'elles. Mais, assez vite, Olivia devra faire face aux conséquences de ses mensonges, et découvrir en chemin que, parfois, l'amour suit la rédemption.
Quand aux
auteurs français qui seront publiés en 2016, il y aura parmi eux
Angela Behelle, Georgia Caldera, Sophie Jomain et Cassandra O'Donnell. Tout en conservant le style qui leur est propre, elles pourraient bien vous étonner par ce qu'elles vont vous proposer...
On a hâte de lire tout ça !
Un énorme merci à Florence Lottin et Fanny Villiers qui m'ont accueilli dans leurs locaux et qui ont accepté de répondre à mes questions. Une chose est sûre : Pygmalion va clairement faire parler de lui dans les semaines à venir...