QUINN Alice - UNE ENQUETE A LA BELLE EPOQUE - Tome 2 : le portrait brisé

Une enquête à la Belle-Epoque tome 2 : le portrait brisé
Alice Quinn

Éditeur : Thomas & Mercer
Sorti le 23 avril 2019

Quatrième de couverture :

En cette année 1888, la brillante ville de Cannes est secouée par un scandale immobilier qui entraîne la faillite de nombreux notables. En cette période tourmentée, la jeune courtisane Lola tente de faire son entrée dans le monde tandis que sa gouvernante, Miss Fletcher, lutte contre l’amour qu’elle éprouve pour elle. Le célèbre écrivain, Guy de Maupassant, traverse une phase difficile : son jeune frère, Hervé, semble sombrer peu à peu dans la folie.

C’est alors que survient un drame : la jeune orpheline protégée de Lola, Anna, disparaît tandis que l’homme qui tentait de la séduire, le banquier Henri Cousin, est retrouvé assassiné. Lorsqu’elle refait surface, elle est accusée du meurtre et emprisonnée.

Lola, Miss Fletcher et Maupassant se lancent dans une course contre la montre qui les mènera jusqu’au terrifiant asile d’aliénés de l’île de Lérins. Parviendront-ils à sauver Anna de la guillotine ? Qui est la mystérieuse femme au portrait brisé ?

Intrigue invraisemblable, écriture brouillonne et personnages peu attachants

Mon avis :

Je me suis forcée à parcourir cette histoire jusqu’au bout, mais sincèrement, ça a été un calvaire.
L’intrigue est complètement invraisemblable, les retournements de situation tirés par les cheveux et la fin n’en est pas une, puisque bien des points ne sont pas complètement éclaircis.
Et que dire des personnages ? Anna est une jeune écervelée qui se comporte de manière idiote. Lola est une sotte qui ne voit pas l’évidence, même lorsqu’elle est sous son nez et qui se comporte comme une imbécile. Quant à Miss Fletcher, elle est pathétique, et les personnages masculins sont sans intérêt.
Le style est brouillon, confus. C’est en principe Miss Fletcher qui est la narratrice, mais périodiquement, elle vient décrire des événements dont elle ne peut pas être au courant, puisqu’elle n’était pas là. Sans compter que, durant ces passages, on est au fait des sentiments des protagonistes, ce qui est impossible dans ce style de narration, puisqu’une seule personne est censée parler. Bref, on aboutit à un récit des plus incohérents et fort ennuyeux.

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