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| Les Imaginales 2011 | |
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Karen Admin
Messages : 12159 Date d'inscription : 10/07/2011 Age : 45 Localisation : Paris
| Sujet: Les Imaginales 2011 Mar 2 Aoû - 20:53 | |
| LES IMAGINALES 2011 : MAGIE ET CONVIVIALITE (Vendredi 27 mai – dimanche 29 mai 2011) Karen, Fariboles, Twixy, Crystal et Lillou racontent leur merveilleux week-end aux Imaginales…
Il y a un an encore, pour la plupart d’entre nous, les Imaginales n’évoquaient rien. Et pourtant, nous dévorions depuis toujours ce genre de littérature ! La lecture était cependant encore pour nous un plaisir solitaire, qui ne nous permettait pas de nous ouvrir sur le monde extérieur, mais seulement de parcourir avec avidité d’innombrables mondes intérieurs. Notre passion pour de nouvelles séries de romances paranormales et de bit-lit nous a incitée pourtant à nous inscrire sur des forums de discussion. C’est là que nous nous sommes connues, que nous avons commencé à correspondre quotidiennement, à échanger sur nos lectures, à pouvoir enfin parler de ce qu’on aime, de ce qui nous est aussi indispensable que la nourriture et l’eau, de nos passions. On y a rencontré des personnes fabuleuses. Et rapidement, les Imaginales sont venus s’insérer dans les discussions, d’autant que les membres du staff qui avaient eu la chance d’y assister l’année dernière y avaient conservé des souvenirs merveilleux. Dès janvier, décision est prise de s’y retrouver et même d’y aller ensemble, vu que nous n’habitons pas loin les unes des autres. Départ de Paris le vendredi 27 Mai à 14h. Nous prenons aussitôt la route, direction : Epinal, dans les Vosges. Arrivées vers 19h, nous décidons aussitôt de déposer nos affaires au gîte que nous avons loués pour le week-end, et de nous rendre aux Imaginales pour repérer les lieux et s’imprégner d’emblée de l’ambiance. Nous arrivons dans un grand parc bordé d’une rivière, et, après avoir parcouru quelques dizaines de mètres, nous tombons sur une grande tente blanche qui, nous l’apprenons très vite par des organisateurs encore présents, est « la bulle des livres ». A côté, un chapiteau magnifiquement décoré : le Magic Mirror 1 où se déroulent la plupart des cafés littéraires. Munies du planning des « festivités » nous rejoignons notre gîte… Le samedi: grand soleil et chaleur estivale au programme sur les Vosges ! Nous décidons de consacrer notre matinée à la découverte de la ville et ses curiosités, avant de passer toute notre après-midi au salon, ainsi que toute la matinée du dimanche. Nous vivons d’emblée des moments magiques avec la rencontre de membres du staff et du forum avec qui nous correspondons assez souvent sans jamais avoir pu encore se rencontrer. Enfin nous pouvons mettre un visage sur ces personnes de Bit-lit.com que nous connaissions que par leur pseudo : Kamana bien sûr que nous avions déjà eu la chance de rencontrer lors du bit-lit tour chez Bragelonne, Démentia, Aaron, Aerin, A-Lise, Nanou, Scende, Douxx… Ce qu’il y a de magiques dans ces rencontres c’est que nous savons que nous partageons une même passion et que nous pouvons en discuter sans jamais s’épuiser. Aucune gêne entre nous, nous somme là pour la même chose et nous savons de quoi parler ! Nous avons adoré l’ambiance dans « la bulle du livre ». Fans et curieux y déambulaient à la recherche d’un coup de cœur ou du livre tant désiré ,sans oublier aussi quelques personnages hauts en couleur : Highlander (torse nu et en kilt comme il se doit !), magiciens, sorcières et autres masques vénitiens. Tous les auteurs sont au centre très accessibles et joyeux. Contrairement à des salons plus généralistes, comme le Salon du Livre à Paris, ils savent que celui-ci ne regroupe que des lecteurs ouverts à leur monde, à l’imaginaire. Et la taille intimiste de l’évènement facilite les rapports conviviaux. Deux rencontres, deux auteurs, nous ont particulièrement touchés. La première est Carina Rozenfeld. Après avoir longuement discuté devant son stand, elle a gentillement accepté de nous rejoindre dehors pour une petite interview. Nous avions déjà repéré sa présence dans le programme des Imaginales et nous avions hâte de la rencontrer pour se procurer et dédicacer le 2e tome de Doregon qui vient de sortir. Cette rencontre a été un véritable coup de cœur, un vrai bonheur, un bel échange. Carina est adorable, toujours souriante et nous a mis tout de suite à l’aise. Ses remarques spirituelles et ses anecdotes sur quelques auteurs des Imaginales étaient hilarantes et nous ont d’emblée mis en confiance. Et en l’écoutant parler de son univers et de ses projets, on comprend mieux pourquoi nombre de ses ouvrages ont été récompensé d’un prix. Nous vous joignons ci-après la vidéo de son interview car personne mieux que Carina peut vous parler de ses livres et de ses projets… https://youtu.be/OmA_ZopUd4k Doregon tome 1, Les Portes de Doregon Parution de Doregon tome 1, les Portes de Doregon chez l’Atalante dans la collection Le Maedre, dirigée par Stéphane Manfrédo. 2010 Résumé : Mia est étudiante aux Beaux-Arts. La peinture est sa passion. Elle peint en particulier, depuis des années, un monde qu’elle a baptisé Doregon. Elle appelle ce monde imaginaire son refuge intérieur. Au cours de l’exposition où ses toiles sont présentées au public pour la première fois, un homme étrange, Garmon, lui chuchote quelques mots à l’oreille, puis disparait, comme cela, pouf…
Le soir même, Mia rentre pour la première fois dans une de ses toiles et pénètre en Doregon. Elle va découvrir que ce monde n’est pas imaginaire, qu’il existe vraiment et qu’elle est reliée à ce dernier pour une bonne raison : elle doit en devenir le Veilleur. Doregon est en effet un sas de sécurité entre la Terre et les autres univers qui se créent là en permanence et peuvent représenter un danger. Mia s’immerge dans ce nouveau monde, guidée par Garmon, le Veilleur actuel qui doit la former. Elle y rencontre Lamia, son lymbiote et découvre le monde des Interstices. Elle y fait aussi rentrer Josh, l’homme qu’elle aime et Moone, son demi-frère. Mais en y apportant ces éléments nouveaux, l’équilibre de Doregon se retrouve menacé. Mia va devoir lutter contre ces nouvelles menaces en affrontant en mettant en balance ceux qui comptent le plus pour elle. Source : le blog de Carina Rozenfeld ]http://carinarozenfeld.wordpress.com/Le second auteur dont la rencontre nous a aussi enchanté est Victor Dixen. Nous avions toutes évidemment déjà entendu son nom mais nous n’avions encore jamais eu l’occasion de lire sa célèbre trilogie, Le cas Jack Sparck. Carina a eu la gentillesse de nous le présenter et nous avons pu avoir avec lui une conversation animée sur son univers, ses passions, l’intérêt des forums de lecture et de la blogosphère… Tout comme Carina, il s’est montré très simple, adorable, très ouvert et toujours souriant. Certaines ont même été plus que charmées mais chut on ne vous dira pas lesquelles ;) Nous nous sommes évidemment empressées de nous procurer le premier volet de la trilogie (qui vient de sortir en livre de poche) et de le faire dédicacer. Dimanche matin, à 10 heures nous décidons de participer à un café littéraire qui nous intéressait particulièrement : « Homosexualité(s) et Imaginaire(s) ». Etrange pensez-vous ? Et bien non, pas tant que ça ! De plus en plus de couples gays sont présents dans la Romance Paranormale et la Bit-lit, et les lectrices en sont folles. En tout cas nous on aime ça et nous sommes frustrées de ne pas trouver de lectures sur ce thème dans la littérature française. Aussi espérions nous trouvons notre bonheur lors de cette conférence. A 10 heures, direction donc le Magic Mirror. Première surprise : l’intérieur est magnifique et l’ambiance cabaret nous a enchantée. Rapidement la salle se remplit et les intervenants prennent place : Stéphanie Nicot (directrice artistique des Imaginales) préside le débat, elle est entourée de 4 auteurs : Elisabeth Vonarburg (le silence de la cité), Ellen Kushner (A la pointe de l’épée), Francis Berthelot (Khanaor) et Charlotte Bousquet (Arachnaé). Stéphanie commence en évoquant son étonnement de voir tant de monde rassemblé pour une conférence de ce genre et à une heure si matinale. Elle évoque aussi sa fierté de voir un tel sujet évoqué aux Imaginales, preuve de la qualité de ce salon où les tabous n’existent pas. Le thème de l’homosexualité est de plus en plus évoqué dans la littérature imaginaire mais il n’est pas pour autant complètement anodin et fait encore l’objet de nombreux débats. Pour la littérature imaginaire en France, l’enjeu est d’autant plus important que la sexualité, hétérosexuelle ou homosexuelle, y est peu présente. Après nous avoir lu des extraits de leurs romans, les auteurs évoquent à leur tour leur choix de ces thèmes. Francis Berthelot est celui qui nous a fait la plus grosse impression. Son premier roman est paru en 1979 et a obtenu un prix au festival de Metz. Pour lui, avoir évoquer l’homosexualité avait un but clairement militant : lutter pour les droits des gays. Et il raconte que bizarrement les femmes avaient réagi positivement alors que les hommes avaient été secoués, mal à l’aise. Et encore aujourd’hui les femmes, plus que les hommes hétérosexuels, sont davantage touchées par les histoires d’amour gays. Pour Francis Berthelot, cela est dû au fait que « les hommes réduisent l’homosexualité à se faire enculer, alors que ça va bien plus loin ». Dans son roman il s’agit surtout « d’initiation à l’état d’homme ». Pour le jeune homme cela revient à dire : « tu es viril, aide moi à être aussi viril que toi. Et quand je dis que je te désire cela signifie que je désire être comme toi, sans pour autant nier le désir sexuel ». Et pour lui si les femmes sont si attirées par ce genre d’histoire c’est parce que « l’objet du désir reste un homme qui reste son propre objet de désir ». En gros c’est parce que les femmes désirent les hommes qu’elles trouvent tellement beau deux hommes ensemble, sans ajouter dans l’équation quelqu’un qui n’est pas un objet de désir : la femme. Ellen Kouchner a avoué n’avoir aucune difficulté à écrire des scènes gays. Ce sont tout simplement deux personnages, avec deux caractères qui leur sont propres. Ce qui l’intéresse surtout dans une relation gay ce sont les relations de pouvoirs. Deux hommes sont égaux au niveau social, alors qu’une femme sera toujours inférieure à l’homme dans un certain contexte. Pour Elisabeth Vonarburg, il n’est pas nécessaire d’être homosexuelle pour écrire de telles histoires. « Ce n’est pas parce que Sire Cédric écrit des histoires de vampires qu’il est lui-même un vampire ! ». « C’est aussi une façon pour certains auteurs d’explorer le rapport au même et à l’autre, pour se transformer en des personnages masculins, de s’identifier à des personnages masculins ». Pour elle, l’homosexualité n’est donc qu’un outil littéraire pour parler de ces choses là. Stéphanie Nicot, après avoir résumé tout ce qui s’est dit, évoque aussi le cas Jack Spark de Victor Dixen, où un garçon tombe amoureux d’un de ses amis qui ne lui retourne pas son désir. Mais ils décident malgré tout de rester amis. Elle conclue en disant qu’avoir de tels débats et évoquer de tels sujets dans les livres est très important dans un pays où encore de nombreux adolescents se suicident parce que leur homosexualité n’est pas acceptée… En début d’après midi, nous avons dû reprendre la voiture pour retourner à Paris. Nous gardons de merveilleux souvenirs de ces Imaginales. L’atmosphère magique, la disponibilité et la gentillesse des auteurs, le fait de se retrouver entre fans et entre amis, les délires… autant de choses qui nous ont déjà décidés à revenir l’année prochaine… Désormais quand on nous dit que les Imaginales sont vraiment uniques, nous savons pourquoi et nous partageons tout à fait ce point de vue !
Dernière édition par Karen le Mar 2 Aoû - 21:17, édité 2 fois | |
| | | Karen Admin
Messages : 12159 Date d'inscription : 10/07/2011 Age : 45 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Les Imaginales 2011 Mar 2 Aoû - 21:04 | |
| Interview de Carina Rozenfeld aux Imaginales:
Q° : Dans Les clés de Babel, les héros étaient des adolescents, ils avaient entre 12 et 14 ans, alors que dans Doregon Mia et Josh sont bien plus âgés…
Carina Rozenfeld : Young adults oui. Mais ça n’empêche pas qu’il y ait beaucoup de jeunes qui le lisent parce que même si j’ai abordé des thématiques un peu plus mâtures avec des héros plus âgés, j’essaye toujours d’avoir un niveau de langage à plusieurs degrés. Et il y a des scènes qu’on va comprendre à plusieurs degrés selon la maturité qu’on a. Il y en a une en particulier, à laquelle je pense, mais je ne vais pas développer ici pour ne rien dévoiler et gâcher votre plaisir. D’ailleurs le chapitre s’appelle Révélation, mais si je vous la révélation maintenant ce n’est pas rigolo ! En fait quand j’ai écrit ce chapitre je me suis demandé si je devais le modifier ou pas parce que c’est un chapitre très dur. Mais finalement il a plusieurs degrés et chacun va le percevoir différemment. Ça m’a rassuré de voir que j’étais capable de réaliser plusieurs degrés d’écriture et de lecture. Ça me permet d’aborder des sujets un peu plus difficiles, sachant que des personnes plus âgées pourraient tout percevoir. C’est assez intéressant pour moi de ne pas toujours m cantonner dans les rôles d’adolescents en plein boom hormonal et qui changent… RIRES
Q° : Et tu aimes bien les supers-héros et ça par contre ça ne change pas !
Carina Rozenfled : (rires) Ouais ! Le pouvoir de Mia est en effet d’entrer dans des tableaux et pas seulement les siens vu qu’à Doregon il y a un couloir où il y a une infinité de tableaux qui sont en fait des portes vers d’autres mondes. Et il y a aussi d’autres personnes qui ont des pouvoirs. On retombe donc toujours en effet sur des pouvoirs et des capacités différents qui sont la marque des supers-héros, et j’aime bien.
Q°: Peux-tu nous parler de tes projets ?
Carina Rozenfeld : J’ai trois livres en préparation, mais en ce qui concerne les délais je n’ai pas de réponses pour tous. Il y a le tome 3 de Doregon qui sera une de mes priorités cet été. Il y a aussi un Soon, qui est la collection des Clés de Babel. Comme on a pas mal parlé de ce livre, Soon m’a demandé d’en écrire un autre, aussi pour 2012. Et puis il y a un projet dont je ne peux pas encore trop parler malheureusement parce que j’aurais aimé en faire de la pub ! (Rires) Je ne peux pas encore parce que c’est un éditeur qui crée une collection jeunesse mais qui ne l’a pas encore annoncé. Et tant que ce n’est pas encore annoncé je ne peux pas le faire à la place des attachés de presse. Ce n’est pas mon rôle. Mais c’est un livre qui doit sortir en juin 2012. C’est une darkromance, un amour fantastique etc, en gros young adult girly. Et je suis en train de l’écrire en ce moment.
Q°: Donc une année 2012 riche en parutions !
Carina Rozenfeld : Ouais ! En fait avec le tome 3 de la Quête des livres Monde qui est bloqué à cause de problèmes avec l’éditeur (qui a fermé), ce devait être mon deuxième titre en 2011 et comme il ne sort pas finalement, je n’ai plus qu’un titre – Doregon. Et je n’ai pas l’habitude de ne sortir qu’un titre par an ! Du coup là j’ai des mois et des mois pour écrire. En général quand je n’ai que ça à faire je fais vite. Donc j’espère que j’aurais la capacité de mener à bien tous ces projets dans un délai pas très long. Parce que sinon j’ai les éditeurs derrière… RIRES Et voilà ! Donc effectivement ça fait beaucoup de choses en perspective !
Q°: Et pour finir un mot sur les Imaginales 2011 ?
Carina Rozenfeld : Un bon cru ! Là j’avoue qu’il y a du monde, il y a une super ambiance. En même temps je n’ai jamais vécu d’Imaginales où il n’y a pas de super ambiance ! Mais c’est vrai que c’est toujours un bonheur de venir là. C’est la quatrième année que je viens et j’ai eu le prix Imaginale des collégiens il y a deux ans. Et c’est vrai qu’il y a un attachement vachement fort à ce festival. On se retrouve entre gens passionnés, du même genre d’univers, alors que dans un salon généraliste il y a aussi des gens passionnés qui viennent mais il y en a aussi qui vous sortent avec une grimace : « aahhhh c’est de la science-fiction…. ». Du coup ici les gens ne diront pas « aaaahhh c’est de la science-fiction…. » RIRES. Ils sont là pour ça, parce qu’ils aiment. On est tous dans les mêmes délires, les mêmes engouements. Et du point de vue des auteurs, on est dans un tout petit univers et on se retrouve à chaque fois. Et ça crée au fil des années des liens et on partage entre les auteurs de bons délires. Donc à chaque fois que je viens là c’est « ça y est c’est les Imaginales !!!! ». Donc je ne m’en lasse pas. Merci beaucoup Carina ! Merci à vous. Et bonne nouvelle de dernière minute : Carina Rozenfeld a remporté le 8 juin 2011 le prix des Incorruptibles pour Les clés de Babel. Ça ne nous étonne pas du tout ! Félicitations Carina ! Bio Carina :
Carina Rozenfeld est née à Paris en 1972 et y vit toujours avec son fils, Léo, et son chat. Après des études d’urbanisme, elle a travaillé dans l’édition et dans la presse. Elle a longtemps été journaliste-rédactrice dans la presse jeunesse. Elle a interrompu cette activité pour se consacrer entièrement à l’écriture, sa passion depuis toujours. Carina par elle-même : « Je suis née en 1972 (le 13 février précisément, pour ceux qui voudraient me fêter mon anniversaire !), à Paris. J’ai toujours été fascinée par le livre, par sa capacité à raconter des histoires. Alors, vers 8-9 ans, quand l’envie m’est venue d’en raconter à mon tour, il m’a été tout naturel d’écrire mes propres livres même s’ils étaient tapés à la machine par ma maman et agrafés ! Et depuis, je n’ai jamais arrêté d’écrire ! Avant l’ordinateur, je griffonnais des cahiers, puis j’en suis venue à noircir des pages de word. J'ai fait des études de géographie et d’urbanisme, puis je me suis tournée vers l’édition. J’ai travaillé pour Hachette Tourisme avant d’être récupérée par la presse. Je m’y suis sentie bien et je suis devenue journaliste dans la presse jeunesse… Aujourd’hui, je me consacre principalement à écrire mes livres et à cajoler Léo, mon petit garçon qui m’inspire tant… »
Elle a publié Lucille et les Dragons sourds aux éditions Kryos (autodistribuées) en 2004. Le livre a reçu le prix du Lutin d’Or en 2004, le prix Mélusine en 2006 et a été traduit en allemand. La Quête des Livres-Monde, premier volet d’une trilogie a été publié en août 2008 par Intervista et a été récompensé par non moins que trois prix littéraires: le Prix des Incorruptibles 2009-2010, le Prix littéraire d'Issoire 2010 ainsi que le Prix Imaginales des collégiens en 2009. Les clés de Babel viennent juste d’être récompensé du Prix des Incorruptibles 2011. Bibliographie : Lucille et les dragons sourds (Kryos, 2004) La quête des livres-mondes, tome 1, Le livre des Âmes (Intervista, 2008) Prix des Incorruptibles 2009/2010. Les clefs de Babel (Syros, 2009) Prix des incorruptibles en juin 2011 La quête des livres-mondes, tome 2, le livre des Lieux (Intervista, 2010) À la poursuite de Humutes (Syros, Mini Syros Soon, 2010) Doregon 1, Les portes de Doregon (Editions l’Atalante, novembre 2010) Doregon 2, La guerre de l’Ombre (Editions l’Atalante, mai 2011) Son blog : http://carinarozenfeld.wordpress.com/about/ source : http://www.l-atalante.com/auteur/49/carina_rozenfeld/biographie.html | |
| | | Karen Admin
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| Sujet: Re: Les Imaginales 2011 Mer 3 Aoû - 13:27 | |
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