Karen Admin
Messages : 12159 Date d'inscription : 10/07/2011 Age : 45 Localisation : Paris
| Sujet: ─═☆ Citations extraites du Tome 4 ☆═─ Sam 15 Oct - 18:41 | |
| Butch : « La vie est une garce qui a parfois de bien curieuses fantaisies ».
« Il n’avait pas grand-chose à offrir à une femme comme elle, et pas seulement parce qu’il était un humain. Après tout il n’était qu’un sous-fifre vivant aux crochets de la Confrérie, incapable de se battre avec eux parce qu’il n’était pas comme eux, incapable de retourner chez les humains parce qu’il en savait trop sur les vampires. Il était coincé dans une sorte de no man’s land et sa seule porte de sortie passait par la morgue. Pas à dire, de quoi faire un tabac sur Meetic…. ».
Butch à propos de Xhex : « Il faut avouer que le chef de la sécurité du ZéroSum était sacrément remarquable. Au moins un mètre quatre-vingt, des cheveux de jais à la coupe masculine, des yeux gris foncés – comme l’acier d’un révolver. Elle portait un débardeur qui mettait en valeur des épaules d’athlète, tout en muscles et veines saillantes, sans un gramme de graisse. A la voir, on la devinait capable de briser quelques os, et même de s’en amuser. »
Marissa : « Elle se redressa et recula pour se voir en pied dans le miroir. Une image de la plus haute ironie : le reflet d’une femelle parfaite, d’une beauté si immaculée, qu’elle en paraissait de cire. Un corps mince et long, tout en angles délicats, et un visage idéal, avec un sublime arrangement de traits pur illuminés par une peau d’albâtre et des yeux bleus glacier. Le sang qui coulait dans ses veines était parmi les plus purs de leur race. Et pourtant…. Elle était vierge et rejetée, dédaignée, abandonnée. »
A la bête de Rhage : « Tu as fini mon grand ? Appela Vishous. Je te signale que si tu as besoin d’un cure-dents il y a les poteaux de but qui feront parfaitement l’affaire ».
« La première pensée de Butch en reprenant conscience fut que quelqu’un devrait refermer le robinet. Le « tip-tip-tip » était crispant. Puis il entrouvrit en œil et comprit que c’était son propre sang qui faisait du goute à goute. Oh…c’est vrai. Il s’était fait massacrer et son corps n’était plus étanche ».
V à propos de Butch : « Je l’ai fait boire…un peu…de moi. »
« Qu’allait-il devenir sans ce foutu salopard, ivrogne et gueulard, à la fois drôle et vif d’esprit ? »
V à propos de son appartement : « Il alluma mentalement toutes les chandelles noires de la pièce. Tout était noir, mur, plafond, sol. Le seul meuble était un lit immense, avec des draps de soie noire. Mais il ne passait jamais beaucoup de temps allongé. Ce qui l’intéressait ici était le chevalet avec sa lourde table horizontale et ses diverses options de bondage. Il utilisait aussi les instruments accrochés au mur à côté : liens de cuir, badines, baillons, colliers, harnais, camisoles de contrainte, fouets, masques – oui, toujours des masques. Merde, il était plutôt tordu niveau sexe, et le savait. Mais après avoir essayé pas mal de choses, il avait finalement trouvé ce qui lui convenait. »
« Butch regarda son coloc…Et fut si content de revoir cet enfoiré que sa vision en devint brouillée. Merde. Mais le visage du Frère, cette barbe noire taillée en pointe autour de sa bouche, ces tatouages sur la tempe, ces yeux brillants de diamant…Tout était pareil. Identique. Familier, si familier. A la fois sa famille et son foyer. Tout ce qui comptait dans sa vie dans un emballage de vampire ».
Butch à V : — Tu as une idée de ce qu’ils m’ont fait ? Quand Vishous secoua négativement la tête, Butch se mit à jurer. Le vampire était Google à lui tout seul, alors qu’il puisse ignorer quelque chose était mauvais signe.
« Marissa se sentait secouée et diminuée, surtout après avoir vu Vishous emporter Butch jusqu’à son lit. Ces deux là étaient si proches, et partageaient un lien si fort. C’était évident à la façon dont ils se regardaient, se parlaient ».
Butch & Marissa : « Il sentait un besoin urgent de la marquer comme sienne, pour que les autres mâles sachent qu’elle lui appartenait. Ce qui était étrange et fou. Soudain, elle recula un peu, renifla l’air autour d’elle, et parut troublé. — Est-ce que les humains se dédient ? — Ah… nous avons aussi ce genre d’émotions, bien sûr. — Non….c’est comme une fragrance. Elle mit son nez dans le cou de Butch, inspira profondément, puis se frotta contre sa peau. »
« Seigneur… Vishous pouvait presque entendre le cri de Butch….Oui…..Il l’entendait. Et venue de nulle part, une étrange jalousie naquit en lui. Merde ! Où se plaçait-il exactement dans le scénario ? »
« Vishous ne pensait qu’aux images qu’il venait de voir sur l’écran. C’était lamentable de sa part d’avoir regardé. C’était lamentable de sa part d’être aussi….envieux. »
— Qui es-tu alors ? — Quelqu’un que tu n’aurais jamais dû croiser. Même si j’étais vampire, nos chemins ne correspondraient pas. Je suis un prolo ma belle. (Il vit son regard étonné, et expliqua) En bas de l’échelle sociale. Il parlait d’un ton très calme comme s’il lui donnait son poids ou sa taille. — Je ne trouve pas que tu sois en bas de l’échelle sociale Butch. — C’est bien ce que je dis, tu ne me connais pas. — Je suis tout prêt de toi, je sens ton odeur, j’entends ta voix…Alors je sais tout ce qui est important à mes yeux. (Elle le regarda de haut en bas) Tu es le mâle avec lequel je veux m’unir. Voilà ce que tu es. A ces mots, une odeur sombre et épicée s’éleva de la peau de Butch. S’il avait été vampire, elle aurait considéré cela comme sa fragrance de mâle dédié. Elle inspira avec délice, et trouva dans cette réponse le courage d’oser davantage.
— C’est devenu si…Enorme. Butch éclata de rire. — Tu dis les trucs les plus chouettes qui soient.
— Je ne savais pas que c’était noir, murmura-t-elle avec un sourire. — Bon Dieu ! Cria-t-il, tandis qu’une horreur sans nom crispait son visage.
« Tu sais ce que moi j’aimerais vraiment ? demanda-t-il d’une voix intense. Juste une fois, j’aimerais être assez bien pour toi. Juste. Une. Fois. »
V & Butch : — Tu es le seul ami que j’ai jamais eu. Tu ne seras jamais mon ennemi. Personne ne sut lequel étreignit l’autre en premier, mais toute leur agressivité s’évapora, ne laissant plus que le lien entre eux. Ils se tinrent un moment serré dans le vent glacial. Puis s’écartèrent en même temps, aussi gênés et embarrassés l’un que l’autre.
« Je ne sais pas si tu as des couilles en béton ou une sacré tendance suicidaire ».
John : « John leva les yeux. Il y avait un homme dans le chambranle de la porte, un inconnu qui semblait vacillant, ou peut être ivre. C’était qui ce… John sentit sa mâchoire béer lorsqu’il examina plus attentivement le visage et les cheveux roux. C’était Blaylock. Blay…en mieux. Jésus, le gars était énorme. Nom d’un chien il avait passé le cap de sa Transition. »
Kolher à John : « Je n’ai pas besoin de voyous. J’ai besoin de soldats. Tu veux savoir la différence ? Un soldat réfléchit. »
« John se remit à crier, mais cette fois de chagrin et non plus de colère. Avec personne d’autre vers qui se tourner, il s’accrocha aux énormes épaules de Kohler. Il voulait juste que son amertume s’apaise….Il voulait se drainer de toute cette détresse qui avait été enfouie si profondément en lui. Il était broyé par l’émotion, par les pertes qu’il avait connues, par les tragédies rencontrées et tout son être lui semblait détruit de l’intérieur ».
« John s’appuya contre les carreaux. En dépit de toute l’eau qu’il avait utilisée, en dépit du savon, il semblait que rien ne pouvait le nettoyer. Il avait toujours une impression de …souillure. C’était sans doute normal, la honte et le remord pesant si lourds sur son âme qu’il se sentait comme couvert de fumier. »
John, à propos de Blay et Qhuinn : « C’était trop sympa d’être un mec normal dans un groupe de potes. Il avait toujours rêvé d’avoir des amis. Pas énormément. Juste quelques uns. Fidèles. Solides. De vrais amis. Du genre à qui on confiait sa vie. Comme des frères. »
Butch & V : « Vishous était encore dans le couloir quand il entendit Butch crier. Il virevolta et revint en courant jusqu’à la salle de bain où il surgit en trombe. — Quoi ? Qu’est-ce que…. — Je perds mes tifs ! Vishous ouvrit la douche et fronça les sourcils. — Mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu as encore tes cheveux…. — Pas sur la tête, sombre crétin. Regarde mon corps, je perds mes poils ! »
Butch, après sa Transition : « Désormais, sa vraie nature était libérée. Et il était à sa place…enfin ».
La Vierge Scribe : A propos de V & Butch : « la lumière et l’ombre se complètent, comme deux moitiés qui forment un tout ». A Butch : « Le Destroyer est arrivé. Et c’est ce que tu es. La guerre va entrer dans une nouvelle ère ».
« La prophétie du Destroyer (Butch) : Viendra un jour celui qui causera la perte du maître, Un guerrier des temps modernes trouvé au septième de vingt-et-un, Il sera reconnu par les chiffres qu’il porte en lui : Cinq sens il percevra sur une boussole, Quatre points il aura pour marquer sa droite, Trois stades de vie il connaîtra, Deux marques sur son avant il affichera, Un œil noir il montrera, Et dans les puits il trouvera la naissance et la mort. »
John : « Quand John releva les yeux, Layla était nue, et la toge gisait en tas à ses pieds. John sentit que les yeux lui sortaient de la tête. Nom d’un chien ! — Approuvez-vous messire ? Jésus, Marie, Joseph…et Tous les autres. Même s’il avait eut la possibilité de parler, il serait quand même resté sans voix. — Messire ? John commença à hocher la tête avec frénésie tout en pensant : attends un peu que je raconte ça à Blaylock et Qhuinn. »
Xhex à Rhev : « Tu trouves que j’ai une gueule à rêver d’un mâle ? »
V & Butch : « Unis par leurs deux mains liés, ils devinrent à nouveau les deux moitiés d’un tout, la lumière et l’ombre. Le Destroyer et le Sauveur. Une entité. »
« Vishous s’approcha et posa la main sur l’épaule de Butch, avant de la glisser jusqu’à sa nuque. — Ta chair, dit-il dans un souffle. Puis il s’arrêta comme s’il attendait quelque chose. Sans même réfléchir Butch leva le menton, conscient qu’il s’offrait en quelque sorte et que…et puis merde ! Il arrêta de penser, complètement perdu dans le courant d’énergie qui vibrait entre eux…venu de Dieu sait où. D’un mouvement lent, la tête sombre de Vishous se pencha et Butch sentit contre sa gorge le contact soyeux de sa barbe. Avec une parfaite précision, les canines de V se plantèrent dans la veine, perçant inexorablement la peau du cou de Butch. Leurs poitrines se touchèrent. Butch ferma les yeux et absorba le contact, la chaleur de leurs corps ainsi rapprochés, la façon dont les cheveux de V glissaient contre sa mâchoire, le poids du bras lourd autour de sa taille. De leur propre accord, ses mains lâchèrent les poignées auxquelles elles s’agrippaient pour se poser sur la taille de V, serrant la chair dure et les amenant l’un contre l’autre de la tête aux pieds. Il y eut un frémissement. Ou peut être…il est possible qu’ils tremblèrent tous deux en même temps. Et ce fut accompli. Terminé. A jamais. Aucun des deux ne regarda l’autre. Lorsque Vishous s’écarta….la séparation devint en quelque sorte irrévocable. Un chemin que jamais ils ne parcourraient en semble. »
— C’est bien toi, dit Kolher. Tu seras connu comme le guerrier de la Dague Noire Destroyer, descendant de Kolher, fils de Kolher. — Mais tu seras toujours Butch pour nous, coupa Rhage. Ou l’emmerdeur. Ou encore le salopard. Tu sais, on pourra s’adapter selon les besoins de la cause. Du moment que c’est une insulte, ça correspond très bien.
Butch à V : « Merci de m’avoir amené là dedans trahyner. (Et tandis que les yeux de Vishous eurent un éclat soudain, Butch ajouta) Oui j’ai vérifié ce que ça voulait dire. En ce qui me concerne « ami très cher » te qualifie très bien. »
Butch : « Il sentit des mains se poser sur ses épaules. Les Frères – Ses Frères – l’entouraient et il les sentait à présent….les sentait en lui. Ils étaient la chair de sa chair. Et il était la chair de la leur. »
« La Confrérie était forte, une entité, une puissance qui oeuvrait en leur monde pour le bien de la race. Mais les compagnes des guerriers étaient fortes elles aussi. Une entité. Une puissance qui oeuvrait pour le bien en leur monde. »
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