Luxx
Messages : 127 Date d'inscription : 10/12/2013
| Sujet: SOREN Jack, Le Monarque Lun 22 Fév - 10:35 | |
| " /> Le MonarqueJack SOREN Sortie le 27 janvier 2016 Quatrième de couverture : L’imitation est une forme de flatterie… mortelleQuand Jonathan Hall abandonne sa carrière internationale de voleur d’art pour se consacrer à sa fille, il croit se ranger définitivement et se mettre à l’abri ― de sa fausse identité de Monarque, de l’illégalité… et d’une mort prématurée.Une série de meurtres l’oblige à reconsidérer ses perspectives. Car quelqu’un s’est mis à utiliser la signature du Monarque ― un papillon ― pour mutiler ses victimes et orchestrer des mises en scènes morbides. Pour Jonathan, il ne s’agit pas d’une simple imitation, mais d’un message : on cherche à le faire sortir du bois. Lui, mais aussi son ancien partenaire, Lew…Piégés dans un jeu mortel par un adversaire psychopathe et infiniment puissant, Jonathan et Lew n’ont pas d’autre choix que de disputer la partie. Et d’accepter une ultime mission signée Le Monarque. Tension et rebondissements ― un roman à grand spectacle, que les amateurs ne pourront pas lâcher. A propos de l’auteurJack Soren vit à Toronto. Avant de se consacrer au thriller, Jack a écrit des manuels de logiciels, conduit un taxi et, pendant six mois, il a été un très mauvais détective privé. Le Monarque est son premier roman. Il a été nominé pour le prix Kobo décerné à un premier roman, ainsi que pour le prix Silver Falchion des lecteurs.Lien Amazon | |
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Luxx
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| Sujet: Re: SOREN Jack, Le Monarque Lun 22 Fév - 10:36 | |
| Mon avis: Ce très bon roman démarre comme une enquête sur un serial killer, se poursuit sur les traces d’un Arsène Lupin mâtiné de James Bond pour finir comme un film d’action bien musclé. Cela pourrait paraître déroutant, mais le rythme enlevé et la qualité des personnages permettent au mélange non seulement d’exister mais aussi d’être savoureux.
L’une des clés de cette réussite à mon sens réside dans le fait que l’auteur ne s’attarde pas trop sur chacun de ces trois moments, mais passe de l’un à l’autre avec une sorte de fondu enchaîné rendu possible par l’avancée de l’intrigue. Le revers de cette qualité, c’est que les personnages, pourtant tous complexes, restent moins développés que l’on pourrait le vouloir. Cela étant, les questions sur leur passé restées en suspens pourraient fort bien se résoudre dans une suite, puisque la fin ouverte le laisse entrevoir.
Sans révolutionner le genre, puisque tous les ingrédients incontournables sont là – le héros retiré des affaires, le méchant milliardaire psychopathe et ses sbires dérangés dans leur base top-secrète, le fidèle lieutenant et les rôles féminins très « James Bond girls » - Le Monarque est un divertissement très plaisant, que je verrais très bien adapté au cinéma.
Attention cependant : si vous pensiez avoir affaire à un thriller sur des meurtres en série, vous l’aurez compris, vous resterez sur votre faim.
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