BRIGGS Patricia - TOME 11 - Le souffle du mal

Mercy Thompson tome 11 : le souffle du mal
Patricia Briggs

Éditeur : Milady
Sortie : 27 novembre 2019

Quatrième de couverture :

Mercy Thompson doit faire face à un ennemi mortel pour défendre tout ce qui lui est cher...

Mon nom est Mercedes Athena Thompson Hauptman, et je suis mécanicienne. Et changeuse coyote... Et la compagne de l'Alpha de la meute du bassin du Columbia.

Mais rien de tout ça ne poserait de problème si je n'avais pas accepté d'endosser la responsabilité de protéger tous ceux qui vivent sur notre territoire. Sur le moment, ça semblait être la chose à faire. Ça aurait dû se limiter à traquer des gobelins tueurs, des chèvres zombies et un troll de temps à autre. Au lieu de cela, notre foyer est à présent considéré comme une zone neutre où les humains peuvent négocier avec les faes sans danger.

En réalité, rien ni personne n'est en sécurité. Tandis que généraux et politiciens affrontent les Seigneurs Gris des faes, une tempête approche... Et son nom est la Mort.

Mais nous sommes la meute, et nous avons donné notre parole. Qu'importe le prix.

Un livre qui se lit d'une traite...

Mon avis :

Retrouver Mercy et son humour caustique a été un plaisir. L'histoire est menée tambour battant, et si certains passages ont été très difficiles à lire, il a été quelque part réconfortant de lire que Mercy a raisonné comme moi à propos de ce qui s'est passé dans la maison d'Elizaveta.
Il se passe énormément de choses, dans ce tome, que ce soit en terme de politique ou en termes de découvertes (notamment, on en apprend plus sur Sherwood). L'existence de la communauté surnaturelle pose toujours des problèmes à certains, et je suppose que dans les tomes suivants, ces groupuscules risquent de poser problème... (comme si Mercy n'en avait pas déjà assez comme ça !! Être la fille de Coyote est loin d'être une sinécure...).
En tout cas, je suis contente de retrouver la Mercy que j'aime. Après le désastreux tome 8, j'ai bien cru que j'allais abandonner la série, mais heureusement, je me suis accrochée, car elle ne cesse de se bonifier.