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| WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE | |
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Auteur | Message |
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nikita
Messages : 1143 Date d'inscription : 22/02/2013 Age : 46
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 22 Fév - 10:33 | |
| non je rêve? Je me promène tranquil à la recherche d'info sur ce tome et je tombe sur LA Anne mon héroïne j'ignorais que tu te cachais sur ce forum. Je me suis inscrit illico juste pour te remercier pour ton travail formidable j'ai commencé avec la VF et au tome 7 je suis tombé sur la VA (version d'Anne) et je veux que tu sache: JE T'AIME. Traduit nous LAL J'ai pas lu les tomes 9 et 10 parceque je sais que je vais encore être plus impatiente de le lire celui-ci. Mais ils sont dans mon Kindle en VA. | |
| | | lee-Anne
Messages : 202 Date d'inscription : 15/09/2011 Age : 36 Localisation : Très loin
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 22 Fév - 12:05 | |
| - nikita a écrit:
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Je me promène tranquil à la recherche d'info sur ce tome et je tombe sur LA Anne mon héroïne j'ignorais que tu te cachais sur ce forum. Je me suis inscrit illico juste pour te remercier hihihi merci... j'ai rencontré Karen sur un forum comme ça, on discutait sur Zsadist. A l'époque les VA (comme tu dis) étaient moins répandues. Maintenant, je les trouve partout. je suis sur pas mal de forums - et chaque fois avec un pseudo différent. Généralement il y a "Anne" dedans, ou alors ça commence par un A... lol. le syndrome de la personnalité multiple? Du coup, je me fais des fois incendier sous le nom d'A*** pour avoir mis des traduction de ***Anne... C'est assez marrant. Un autre point commun : je signe aussi LGY pour mes padawans. Private joke. Je ferai le 11 - bien sûr. Je traduis TOUS les BDB - pour le tome 10 j'ai même commencé une bonne semaine avant la version officielle parce qu'une fille avait reçu un exemplaire de Amazon US par erreur... je ne sais pas si ça se reproduira. En tout cas, le chapitre 1 commencera le jour de la sorti - le mois prochain. Sous ma signature, il y a le site de la BDB où paraissent les chapitres au jour le jour. | |
| | | RaiinbOow
Messages : 847 Date d'inscription : 11/09/2012 Age : 32 Localisation : Arkham City
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 22 Fév - 12:17 | |
| Voila maintenant que je sais que tu les traduits tous Anne je ne vais pas pouvoir résister et attendre sagement la sortie VF ! | |
| | | filoute Modérateurs
Messages : 3469 Date d'inscription : 26/04/2012 Age : 49
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 22 Fév - 12:22 | |
| ouiiii!!! vive les VA!!!! surtout que les frères ont leur nom bien à eux, que ça n'a pas été traduit, qu'anne nous enchante avec ses trad qui ont , elles, un sens. et je ne suis pas la seule à le penser, donc mille merci pour tout ce que tu fais | |
| | | nikita
Messages : 1143 Date d'inscription : 22/02/2013 Age : 46
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 22 Fév - 16:43 | |
| - lee-Anne a écrit:
En tout cas, le chapitre 1 commencera le jour de la sorti - le mois prochain. Sous ma signature, il y a le site de la BDB où paraissent les chapitres au jour le jour.
y a aussi un site sur fifty shades à ce que je vois. je m'en vais de ce pas visiter ces deux adresses. | |
| | | Founa Modérateurs
Messages : 4456 Date d'inscription : 05/04/2012 Age : 37 Localisation : Perdue dans une histoire
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 22 Fév - 19:04 | |
| Moi je ne connaissais pas du tout, c'est grace a elle que j'ai decouvert le 1er tome, et donc c'est grace a elle que je suis ici et tout comme filoute | |
| | | Ana.G
Messages : 9 Date d'inscription : 26/03/2012
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Jeu 28 Fév - 21:23 | |
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| | | Karen Admin
Messages : 12159 Date d'inscription : 10/07/2011 Age : 45 Localisation : Paris
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 1 Mar - 8:26 | |
| Et Anne nous l'a traduit ! PréludeQhuinn, fils de Lohstrong, entra dans la demeure de sa famille par la grande porte. Dès l’instant où il mit le pied sur le seuil, l’odeur familière lui monta aux narines – la cire au citron ; les bougies au miel d’abeilles ; les fleurs fraîches coupées au jardin qu’un doggen changeait tous les jours. Du parfum – celui de sa mère ; de l’eau de toilette – celles de son père et de son frère. Du chewing-gum à la cannelle – sa sœur. Si la société Glade inventait un jour un aérosol d’ambiance de ce genre, il lui donnerait comme nom Pot-Pourri de la Bonne Société ou encore Fragrance de Portefeuille. Ou peut-être, pour faire simple : C’est Nous Les Meilleures. Des voix étouffées émanaient de la salle à manger, avec des voyelles rondes aussi nettes et découpées que des diamants, des consonnes longues qui se déroulaient comme des rubans de satin. — Oh, Lillie, c’est adorable, merci beaucoup, disait sa mère à une servante. Mais il y en a beaucoup trop pour moi. Et surtout, ne mettez pas une part complète à Solange. Elle devient trop forte. Ah oui. L’obsession de sa mère concernant la diététique s’appliquait à la génération suivante. Les femmes de la Glymera étaient censées devenir invisibles une fois de profil ; chaque clavicule saillante, chaque joue creuse, chaque bras maigre, se portait comme une putain de décoration – un signe d’honneur. Comme si ressembler à un tisonnier vous transformait en quelqu’un de meilleur. Comme si la Vierge Scribe serait offensée qu’une fille de famille paraisse en bonne santé. — Ah, oui, merci Lilith, disait son père d’une voix posée. Encore un peu pour moi, je vous prie. Qhuinn ferma les yeux et essaya de forcer son corps à avancer. Un pied après l’autre. Ce n’était pas si difficile, pourtant. À cette suggestion, ses chaussures Ed Hardy flambant neuves se rebellèrent en lui adressant un doigt d’honneur. D’accord, à de très nombreux points de vue, pénétrer dans cette salle à manger serait comme plonger dans l’antre de la bête. Il laissa tomber sur le sol sans sac de voyage. Ça lui avait fait du bien de passer quelques jours chez son meilleur ami, Blay – une bonne coupure après le manque d’oxygène qu’il ressentait en permanence chez lui, dans cette maison. Malheureusement, ça rendait le retour encore plus dur, aussi avantage et inconvénient s’annihilaient. Merde, c’était ridicule. Il ne pouvait rester planté ici comme un objet inanimé. Se tournant vers le mur latéral, il s’appuya contre un ancien miroir en pied placé à droite de la porte. Que c’était bien pensé ! Voilà qui correspondait bien au besoin permanent qu’avait l’aristocratie de paraître à son avantage. De cette façon, les visiteurs pouvaient s’assurer de la bienséance de leurs vêtements et cheveux quand le maître d’hôtel les débarrassait de leurs manteaux et chapeaux. Un jeune prétrans le regardait dans le ; il avait des traits réguliers, une mâchoire solide, et une bouche qui, il devait l’admettre, paraissait capable de faire de sérieux dommages à une peau nue avec quelques années de plus. Ou peut-être prenait-il ses désirs pour des réalités. Ses cheveux le transformaient en Vlad l’Empaleur, des pointes hérissées toutes droites sur sa tête. Quant à son cou, il était cerné d’une chaîne de bicyclette – et pas du genre qu’on achetait à Urban Outfitters, non, le vrai modèle, celui qui activait naguère son VTT douze vitesses. Tout bien considéré, il ressemblait à un brigand qui venait de faire intrusion et s’apprêtait à mettre à sac les lieux pour découvrir l’argenterie, les bijoux, et tout le matériel électronique susceptible d’être emporté. L’ironie, c’était que ces conneries gothiques n’étaient pas, pour sa famille, la pire offense de son apparence. En fait, il aurait pu se foutre à poil, s’accrocher un lustre dans le cul et courir à travers tout le rez-de-chaussée en jouant les Jose Canseco[1] avec le mobilier et les œuvres d’art, il n’aurait même pas approché du vrai problème qui contrariait ses parents. Ses yeux. L’un était bleu. L’autre vert. Oups. Pas de bol. La Glymera n’acceptait pas les défauts. Ni dans la porcelaine, ni dans les roseraies. Ni sur le papier peint, ni sur les tapis, ni sur les comptoirs. Ni sur la soie de ses sous-vêtements, la laine de ses vestons, la popeline de ses robes. Et certainement pas sur ses enfants. Jamais. Sa sœur était acceptée – du moins, à condition de surveiller son poids, ce qui n’était pas encore un problème, et malgré un zozotement que la transition n’avait pas guéri. Oh, personne n’évoquait le fait qu’elle possédait également la même personnalité que leur mère. Il n’y avait aucune cure pour une telle tare. Quant au frère, lui, c’était la putain de star. Un premier-né physiquement parfait préparé à transmettre à la génération suivante le sang de la famille. Ouaip, il se reproduirait – dans des conditions décentes, sans gémissement ni sueur –, avec une femelle que sa famille choisirait pour lui. Bon Dieu, le récipiendaire de son sperme avait déjà été sélectionné. Il s’unirait à elle dès qu’il passerait sa transition… — Comment te sens-tu, mon fils ? Demanda son père d’un ton hésitant. — Fatigué, père, répondit une voix profonde. Mais ceci va nous aider. Qhuinn sentit un frisson glacial faire des bons de grenouille le long de son échine dorsale. Ce n’était pas la voix de son frère. Elle était bien trop grave. Bien trop mâle. Bien trop… Ben merde alors ! Le mec avait passé le change. Maintenant, les Ed Hardy de Qhuinn avaient enfin compris la consigne : l’emmener en avant afin qu’il puisse apercevoir ce qui se passait dans la salle à manger. Père était dans son fauteuil, à la tête de la table. Check. Mère était dans son siège, à l’opposé, le plus loin possible de la porte battante de la cuisine. Check. La sœur faisait face à la porte – hésitant à lécher le liseré d’or de son assiette, tellement elle avait faim. Check. Par contre, le mâle qui tournait le dos à Qhuinn ne faisait pas parti du protocole habituel. Luchas doublé de volume depuis qu’un doggen s’était approché de Qhuinn pour lui dire de préparer ses affaires, et de partir chez Blay. Ainsi, voici le motif de son d’expulsion soudaine. Dire que Qhuinn avait cru son père adouci en le voyant accepter enfin sa requête, soumise plusieurs semaines auparavant. Mais non. Pas du tout. Le mâle voulait simplement se débarrasser de Qhuinn pour que l’héritier vedette puisse passer sa transition sans mauvaise influence. Son frère avait-il baisé la femelle ? De qui avait-il pris la veine… Lohstrong, qui n’avait pourtant rien d’un mâle démonstratif, tendit le bras pour tapoter maladroitement l’avant-bras de Luchas. — Nous sommes tellement fiers de toi. Tu es… parfait. — C’est exact, intervint d’une voix flûtée la mère de Qhuinn. Solange ne trouves-tu pas ton frère parfait ? — Si, bien sûr. Parfait. — J’ai quelque chose pour toi, ajouta Lohstrong. Il mit la main dans la poche intérieure de son veston de sport et en sortit un écrin de velours noir, de la taille d’une balle de base-ball. La mère de Qhuinn se mit à sangloter, elle dut se tapoter les yeux d’un mouchoir. — C’est pour toi, ô mon précieux fils. L’écrin fut poussé sur la nappe blanche damassée ; la grande main de son frère, toute tremblante, se tendit pour le ramasser et soulever le couvercle. Même de l’autre côté du vestibule, Qhuinn repéra le vif éclat de l’or. À table, tout le monde fit silence. Son frère regarda la chevalière, manifestement bouleversé, tandis que leur mère continuait ses simagrées ; même leur père en eut l’œil humide. Sa sœur en profita pour piquer discrètement un petit pain dans la corbeille. — Merci, père, dit Luchas qui enfila à son annulaire à la lourde chevalière. — J’espère qu’elle te va, indiqua Lohstrong. — Ou, père. C’est parfait. — Dans ce cas, nous avons la même taille. Bien entendu. Au même moment, leur père détourna les yeux, comme s’il espérait que son geste le débarrasse de l’humidité suspecte qui troublait momentanément sa vision. Il repéra alors Qhuinn qui s’attardait dans le hall, devant la salle à manger. Il y eut dans ses yeux un bref éclair de reconnaissance. Pas du tout du genre « salut, te revoilà ! » ; Encore moins « oh, Que la Vierge Scribe en soit remerciée, mon autre fils est revenu à la maison ! » Non, c’était davantage le regard qu’avait un mâle s’apprêtant à marcher dans une mer de de chien, il voyait la catastrophe arriver alors qu’il était trop tard pour empêcher son pied de se poser. Lohstrong reporta son attention sur sa famille, expulsant Qhuinn. Manifestement, la dernière chose que désirait le mâle était de voir souiller un moment aussi important pour l’histoire familiale – et c’est bien pour ça qu’il se retint, pour une fois, d’agiter les mains pour repousser le mauvais œil. En temps normal, chaque membre de la maisonnée exécutait ce rituel dès que Qhuinn apparaissait. Pas ce soir. Papounet préférait que les autres ne soient pas au courant de sa présence maudite. Qhuinn retourna récupérer son sac. Il en glissa la bretelle sur son épaule et monta les escaliers jusqu’à sa chambre. En temps normal, sa mère préférait qu’il prenne l’escalier de service, mais pour le faire, Qhuinn devrait traverser la zone lourde d’amour qui lui était interdite. Sa chambre était aussi éloignée que possible de celle des autres, tout au fond, à droite. Il s’était souvent demandé pourquoi la famille ne faisait pas le grand saut, en l’expédiant carrément dans l’aile des doggens – mais dans ce cas, le personnel démissionnerait probablement. Verrouillant sa porte, il jeta son sac sur le sol nu et s’assit sur son lit. en fixant le seul bagage qu’il possède, il réalisa qu’il ferait mieux de s’occuper le plus vite possible de son linge, surtout qu’il avait laissé un maillot mouillé là-dedans. Les servantes refusaient de toucher à ses affaires – comme si le mal en lui s’attardait dans les fibres de ces jeans et de tee-shirts. Pour voir le bon côté des choses, il n’était jamais convié aux événements importants nécessitant des tenues formelles, aussi sa garde-robe passait juste à la machine, sans repassage. Il découvrit qu’il pleurait en baissant les yeux sur ses Ed Harris. Il y avait deux gouttes d’eau au milieu des lacets. Qhuinn ne recevrait jamais de chevalière. Ah bordel… ça faisait mal. Il se frottait le visage de la paume quand son téléphone sonna. Il sortit l’appareil de son blouson de motard et dut cligner des yeux plusieurs fois pour réussir à se concentrer. Il appuya sur le bouton pour accepter l’appel, mais sans y répondre. — Je viens d’apprendre, déclara Blay à l’autre bout du fil. Comment tu te sens ? Qhuinn ouvrit la bouche pour répondre, son cerveau lui crachant quelques réponses du genre : « Dément, tout baigne ! » ou encore : « Au moins, je ne suis pas obèse comme ma sœur. » Ou même : « Non, je ne sais pas si mon frère a baisé. » À la place, il se contenta de dire : — Ils m’ont viré de la maison. Ils ne voulaient pas de moi durant la transition. J’imagine que ça a fonctionné, parce que le mec a l’air de s’en être bien sorti. Blay marmonna un juron discret. — Oh, il vient juste de recevoir sa chevalière. Mon père lui a donné… une chevalière. Cette chevalière de la transition portait les armes de la famille, c’était le symbole que tout mâle de bonne lignée affichait pour attester de la noblesse de son sang. Qhuinn avait la sensation qu’un coutelas aiguisé lui découpait l’intérieur des bras. — J’ai regardé Luchas la mettre à son doigt, continua-t-il. Ça lui allait bien. Il était en grande forme. Tu sais, bien sûr… comment aurait-il pu en être autrement… Cette fois, il se mit à pleurer. Bordel, la vraie débandade. Parce que, il connaissait la triste vérité : sous son air bravache et je-m’en-foutiste, il désirait l’amour de sa famille. Aussi dinde que soit sa sœur, aussi béni-oui-oui que soit son frère, aussi coincés que soient ses parents, l’amour les unissait. [1] Ancien joueur cubain de baseball qui évolua dans sept équipes différentes de la Ligue majeure de baseball. | |
| | | filoute Modérateurs
Messages : 3469 Date d'inscription : 26/04/2012 Age : 49
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 1 Mar - 8:39 | |
| anne | |
| | | coraline Modérateurs
Messages : 5539 Date d'inscription : 20/03/2012 Age : 42
| | | | lee-Anne
Messages : 202 Date d'inscription : 15/09/2011 Age : 36 Localisation : Très loin
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 1 Mar - 11:08 | |
| Chapitre1 — Bordel, ça c’est de la putain de caisse! Jonsey se retourna vers le débile accroupi à ses côtés, dans l’abri de bus. Tous deux étaient planqués dans le plexiglas de cette cage à rat depuis trois heures. Au moins. Faut dire qu’avec des commentaires pareils, ça lui paraissait avoir duré des jours. D’après lui, un truc pareil donnait au meurtre les circonstances atténuantes. — T’es un Petit Blanc, tu savais ça ? Signala Jonsey. — T’as dit quoaaa ? D’accord, mettons que trois heure avec ça comptaient pour trois ans. — T’es caucasien, mec. Du genre qu’a besoin de se tartiner la tronche pour ne pas cramer durant l’été. Pas vraiment mon cas… — Laisse tomber, mon pote, regarde un peu cette chiotte… — Explique un peu pourquoi tu parles comme un mec du Ghetto ? Ça te donne juste l’air con. A l’heure actuelle, il ne voulait plus qu’une chose : que la nuit se termine. Il faisait froid. Il neigeait. Qui avait-il foutu en rogne, il se demandait vraiment, pour mériter de se retrouver comme ça, coincé avec Cône Vanille. Le hic, c’est qu’il cherchait vraiment à arrêter de déconner. Comme dealeur à Caldwell, il s’en sortait plutôt bien. Il était sorti de tôle depuis deux mois - après avoir butés quelques mecs étant ado. La dernière chose dont il avait besoin, c’était de traîner avec un connard de Blanc qui singeait les vrais mecs de la rue. Oh, il y avait aussi ce quartier de Rupin Rupinet où ils s’attardaient. Peut-être y avait-il un édit local avec interdiction de traîner dans les rues après 22 heures. Qu’est-ce qu’il en savait ? Et bordel, pourquoi avait-il accepté ça ? — Pourrais-tu – regarder – ce – superbe – véhicule – s’il – te – plait ? Juste pour que l’autre la ferme, Jonsey tourna la tête et se pencha hors de l’abri. Une rafale de neige lui gifla le visage, ce qui l’aveugla, il poussa un juron. Quel putain de temps ! L’hiver était une vraie chierie au nord de l’État de New York. Il faisait assez froid pour ses couilles deviennent des glaçons… Tiens tiens tiens… regardez-moi ça. De l’autre côté d’un parking minable, juste en face d’un drugstore CVS ouvert 24 heures sur 24 – un truc étincelant de propreté, sans le moindres graffiti – se trouvait, effectivement, une putain de super bagnole. Le Hummer était entièrement noir et vachement discret : pas le moindre chrome en vue – ni sur les roues, ni autour des vitres, ni même à l’avant du capot. Et c’était un des gros modèles, aucun doute, il y avait un sacré moteur là-dedans. Dans son quartier, on voyait beaucoup de véhicules de genre de truc dans les rues – ils appartenaient aux gros revendeurs. Mais là, ils étaient très loin du cœur de la cité, alors il s’agissait probablement d’un connard qui se la pétait en prétendant avoir des couilles. Coco Vanille récupéra son sac à dos dont il enfila une des bretelles. — J’vais voir ça de plus près. — Le bus ne va pas tarder. (Jonsey regarda sa montre et fit une évaluation optimiste.) Dans cinq, peut-être dix minutes. — Allez, viens… — Fous-moi la paix, connard. — Tu as la pétoche d’un petit rigolo ? (Le sinistre con leva les mains et commença à mimer Paranormal Activity .) Attentionnnn… Jonsey sortit son arme et, du canon, frappa l’autre enfoiré en pleine gueule. — Ça ne me poserait aucun problème de te flinguer, ici, maintenant. Je l’ai déjà fait. Je leur referai. Alors, fous-moi la paix. Tu veux un bon conseil ? Ferme-la, bordel. Lorsque Jonsey croisa le regard de l’autre, il n’en avait rien à foutre de la façon dont se terminerait cette histoire. Allait-il descendre le mec ? ou pas ? Aucune importance. — D’accord, d’accord, d’accord. Mr Pipelette recula, puis il quitta l’abri de bus. Merci, bordel ! Jonsey rangea son feu et croisa les bras, les yeux braqués dans la direction d’où le bus devait arriver… comme si ça pouvait faire avancer les choses. Connard débile ! À nouveau, il consulta sa montre. Fais chier… il en avait marre de toutes ces conneries ! Au premier bus qui passait, même s’il retournant au centre-ville, il y monterait quand même – juste pour foutre le camp d’ici. Il remua le sac à dos qu’on l’avait chargé de récupérer, et sentit les durs contours de l’urne, à l’intérieur. Il comprenait l’utilité du sac. S’il devait transporter un truc de chez les rupins au Ghetto, alors ouais, d’accord, logique. Mais pourquoi cette urne ? Bordel, à quoi elle servait ? À moins que la poudre soit instable ? Le fait d’avoir été choisi par C-Rider – le caïd en personne – pour cette mission lui avait paru super génial. Du moins, jusqu’à ce qu’il rencontre Face de Lune – là, l’idée d’être « spécial » n’avait plus été aussi crédible. Pourtant, les instructions du patron étaient parfaitement claires : rester avec l’autre con à l’arrêt de la Fourth Street ; prendre le dernier bus pour les faubourgs et attendre ; passer au réseau rural dès que le service reprendrait, à l’aube ; descendre à l’arrêt Warren Country ; traverser à pinces un kilomètre et demi jusqu’à la ferme. C’est là que C-Rider les retrouverait, avec un groupe de mecs réunis pour affaires. Après ça ? Jonsey serait engagé dans la nouvelle bande qui s’apprêtait à dominer la scène à Caldie. Il aimait bien cette idée. Il respectait à fond C-Rider – un fils de pute sacrément solide, bien placé dans le Ghetto – nerveux et dynamique. Mais si le reste de ses troupes était comme Coco Vanill… En percevant le rugissement d’un moteur, il réalisa que quelque chose allait de se pointer – et ce n’était pas un véhicule de la Ligne de Transport Gouvernementale de Caldwell. Il se redressa… — Bordel, mais c’est pas vrai ! Haleta-t-il. Le Hummer tout noir pila devant l’abri de bus, la vitre descendit. Derrière le volant, il y avait Face de Lune avec son air le plus ahuri – manifestement, personne n’habitait plus dans ce crâne-là. En plus, Cypress Hill beuglait à la sono – et le groupe avait le nom d’un cimetière : la Colline aux Cyprès. — Viens. Allez, monte. — Merde, mais qu’est-ce que tu as fabriqué ? Bredouilla Jonsey. Tout en parlant, il faisait déjà le tour du 4x4 pour sauter sur le siège passager. Bordel de merde ! Pour réussir un coup pareil, l’enfoiré n’était pas aussi con qu’il en avait l’air. Dès que le mec écrasa l’accélérateur, le moteur rugit et les pneus cloutés mordirent la neige, ce qui les propulsa en avant, à 80 km/h. Jonsey agrippa aux prises qu’il trouva tandis que la voiture brûlait le feu rouge du carrefour, puis grimpait sur le trottoir et coupait à travers le parking d’un magasin Hannaford . Lorsqu’ils jaillirent de l’autre côté, la musique tonitruante étouffait les « bip-bip » de l’alarme qui gueulait, parce qu’aucun des deux n’avait attaché sa ceinture. Jonsey commença à se marrer. — Oh bordel ! Sombre connard, t’es aussi givré que cette putain de neige ! *** — Je pense que c’est Justin Bieber . Planté devant le rayon des chips Lay’s , Qhuinn leva les yeux vers les haut-parleurs encastrés dans les carreaux du plafond. — Ouaip, j’ai raison. Et franchement, ça me tue d’être capable de le reconnaître. À ses côtés, John Matthews effectua quelques signes : — Comment le sais-tu ? — On voit ce petit con absolument partout. Pour illustrer ces propos, il agita une carte de salutations qui annonçait : « Tout Remonté en un quart d’heure ». — Je te jure, reprit-il, ce gosse est la preuve que l’Antéchrist va revenir. — Peut-être est-il déjà là ? — Ça expliquerait Miley Cyrus . — Bien vu. Tandis que John se replongeait dans la contemplation d ses en-cas de prédilection, Qhuinn examina une fois de plus les alentours du magasin. À 4 heures du matin, le drugstore CVS était bien garni et désert – sauf eux deux et le mec derrière le comptoir, qui lisait un National Enquirer en grignotant une barre chocolatée Snicker. Pas de lesser. Pas de Bande des Bâtards. Personne à flinguer. Sauf éventuellement cette overdose de Bieber. — Tu prends quoi ? Demanda John par signes. Qhuinn haussa les épaules, sans interrompre sa surveillance. Comme ahstrux nohtrum de John, c’était sa responsabilité que le mec rentre en bon état, toutes les nuits, au manoir de la Confrérie. Au cours de cette dernière année, il s’en était bien sorti. Bon Dieu, Blay lui manquait ! Il secoua la tête et tendit le bras au hasard, ramenant un sachet à la crème aigre et aux oignons. Alors qu’il regardait le logo Lay’s et la chips imprimée en gros plan, tout ce qui lui vint à l’esprit, c’est la façon dont leur trio, John, Blay et lui, passait autrefois leurs soirées ensemble chez les parents de Blay – à jouer à la Xbox, boire de la bière, et rêver de la vie glorieuse qui les attendait après le change. Malheureusement, le seul vrai changement de la transition avait été de leur fournir un corps bien plus grand et plus fort. Mais peut-être, n’était-ce que son avis à lui. Après tout, John était uni, heureux ; quant à Blay, il avait… Et merde. Même dans sa tête, il n’arrivait pas à prononcer le nom de son cousin. — C’est bon, J-man ? Tu as tout ce qu’il te faut ? Demanda-t-il d’une voix bourrue. John Matthew prit encore un sachet Doritos à l’ancienne avant de hocher la tête. — On va aussi récupérer un truc à boire. Tandis qu’il s’enfonçait dans le magasin, Qhuinn regretta de ne pas être au centre-ville, à se battre dans les ruelles, à s’attaquer à l’un ou l’autre de leurs ennemis. En étant au repos, dans ces quartiers tranquilles, il avait bien trop de temps pour ressasser… À nouveau, il s’empêcha d’aller plus loin. Et merde, il détestait approcher la Glymera – et c’était un sentiment partagé. Malheureusement, les membres de l’aristocratie se mettaient, de plus en plus, à revenir à Caldwell, et Wrath se retrouvait inondé d’appels annonçant des prétendues apparitions d’égorgeurs. Comme si les non-vivants de l’Omega n’avaient pas mieux à faire que se promener dans les vergers en hibernation ou autour des piscines bâchées. Pourtant, le roi n’était pas en position d’annoncer à tous ces dandys d’aller se faire mettre. Pas depuis que Xcor et sa Bande de Bâtards avaient flanqué une balle dans sa gorge royale. Sales traitres. Enfoirés. Avec un peu de bol, Vishous allait bientôt prouver sans l’ombre d’un doute que le fusil utilisé provenait bel et bien de cette bande, ensuite la Confrérie irait les étriper, placer leurs têtes sur des pieux, et jeter leur corps au bûcher. Tout en découvrant qui, au Conseil de la Glymera, fricotait avec ce nouvel ennemi. Ouaip, la nouvelle règle du jeu était de faire ami-ami – aussi, une nuit par semaine, chacun des guerriers de la Confrérie se retrouvait dans ces jolis quartiers où Qhuinn avait grandi, pour frapper à la porte et à regarder sous les lits. Toutes ces riches demeures, aussi immenses et sombres que des musées, lui foutaient la trouille bien plus que les plus immondes ruelles du centre-ville. Une tape sur le front le poussa à tourner la tête. — Ouais ? — Je m’apprêtais à te poser la même question. — Quoi ? — Tu t’es figé tout à coup, les yeux fixes, et… tu vois… Qhuinn fronça les sourcils, perplexe, puis il étudia de plus près le rayon devant lequel il s’était arrêté. Et là, son cerveau dérailla complètement, il perdit tout le sang qu’il avait dans la tête. — Oh, ouais… ah… Hum… Merde, il avait très chaud tout d’un coup – quelqu’un venait-il de mettre les radiateurs à fond ? Des biberons. Du lait maternisé. Des bavoirs, des Q-tips, des tétines. Et ce truc bizarre, une sorte d’appareillage métallique avec des sangles… Oh bordel, c’était un tire-lait. Qhuinn fit demi-tour si vite qu’il se retrouva face à un mur de couches Pampers de deux mètres de haut. Il rebondit en arrière pour atterrir une fois de plus au pays NUK , avant de ricocher dans l’espace Premier Âge grâce à une escale A+D® . Bordel, il ne savait même pas à quoi servait cette connerie-là. Bébé, bébé, bébé… Oh bon sang. Par hasard, il finit par hasard par retrouver le comptoir de la caisse. Plongeant la main dans son blouson de motard, Qhuinn en fit jaillir son portefeuille, puis il tendit une main derrière lui pour récupérer la junk food de John. — Donne-moi tes trucs. Le mec commença à discutailler, mimant les mots parce qu’il avait les mains pleines. Qhuinn lui arracha la bouteille de soda Mountain Dew et le sachet de Doritos qui compliquaient leur communication. — Voilà, c’est mieux. Pendant qu’il nous encaisse, tu pourras au moins hurler en bonne et due forme. Et tu sais quoi ? Les mains de John s’agitèrent dans toutes les positions connues du LSM pour exprimer, de multiples façons : « c’est moi qui paye ». — Il est sourd ? Demanda le caissier dans un chuchotement. Comme si quelqu’un utilisant le Langage des Sourds-Muets était un taré en puissance. — Non. Aveugle. — Ah. Tandis que le mec ouvrait de grands yeux, Qhuinn lutta contre son envie de lui en coller une. — Alors, vous nous encaissez ou quoi ? — Ah… ouais. Hey, vous avez un tatouage sur la figure. Mr Super-Observateur enregistrait enfin un code-barres après l’autre, mais lentement, comme si les emballages plastiques résistaient à son lecteur laser. — Vous étiez au courant ? Insista le caissier. Non mais franchement ! — Non. — Vous êtes aveugle, vous aussi ? Le mec ne réfléchissait vraiment pas avant de pondre ses conneries. — Exactement. — Ah, c’est pour ça que vos yeux sont aussi bizarroïdes. — Ouais. Vous avez raison. Qhuinn jeta un billet de vingt dollars sur le comptoir et fila sans attendre la monnaie – il avait biiien trop peur de céder à ses idées de meurtre. Il adressa un signe de tête à John, qui lui aussi mesurait du regard la taille du cher garçon pour lui tailler un linceul Qhuinn sortait déjà. — Et votre monnaie ? Cria derrière lui le caissier. — Je suis aussi sourd. Je ne peux pas vous entendre. L’autre beugla plus fort : — Alors, je peux la garder, c’est ça ?
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| | | moustelle13/Magali
Messages : 810 Date d'inscription : 16/04/2012 Age : 54 Localisation : aix en provence
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 1 Mar - 11:13 | |
| : Anne!!!!!!! | |
| | | Ana.G
Messages : 9 Date d'inscription : 26/03/2012
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 1 Mar - 11:42 | |
| Qu'est rapide!! | |
| | | lee-Anne
Messages : 202 Date d'inscription : 15/09/2011 Age : 36 Localisation : Très loin
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 1 Mar - 13:03 | |
| oups, il m'avait manqué la page 6 du prologue. GONFLE !!! Ouais, entre ces quatre-là, il le sentait, cet amour. C’était le lien qui unissait ces quatre individus distincts, comme un fil invisible allant d’un cœur à l’autre, le symbole d’une attention privilégiée – et ce dans tous les domaines, depuis ses couillonnades mondaines jusqu’aux vrais drames de la vie quotidienne. Et la seule chose encore plus puissante que cette connexion… c’était d’en être exclu. Tous les jours de sa putain d’existence. Malgré ses sanglots, il perçut la voix de Blay. — Moi, je suis là. Je suis tellement désolé… Moi, je suis là… Ne fait pas de conneries, d’accord ? Laisse-moi venir… Laisser Blay découvrir qu’il pensait à des trucs impliquant une corde et une poutre où l’accrocher ? En fait, sa main libre était déjà descendue jusqu’à la ceinture qu’il s’était fabriqué, avec de chouettes fibres de nylon, bien solides – parce que ses parents ne lui allouaient pas grand-chose pour ses vêtements. La seule ceinture qui possédait s’était déchirée il y a quelques années. Libérant de ses passant la tresse de nylon, il jeta un coup d’œil à la porte fermée de sa salle de bains. Tout ce dont il avait besoin, c’était d’attacher ce truc au pommeau de sa douche… Dieu sait que ces machins-là étaient solidement fixés au bon vieux temps, quand la plomberie était suffisamment solide pour supporter du poids. Il avait même un tabouret, il pourrait monter dessus, avant de s’en débarrasser d’un coup de pied. — Faut que j’y aille… — Qhuinn ! Ne t’avise pas de me raccrocher au nez… ne fais pas ça, merde ! — Ecoute, mec, il faut que j’y aille… — Non, j’arrive. Tout de suite. Il entendit pas mal d’agitation à l’autre bout du fil, des froissements agités, comme si Blay s’habillait à la hâte. — Qhuinn, ne raccroche pas ce téléphone – Qhuinn… ! | |
| | | filoute Modérateurs
Messages : 3469 Date d'inscription : 26/04/2012 Age : 49
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 1 Mar - 13:55 | |
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| | | nikita
Messages : 1143 Date d'inscription : 22/02/2013 Age : 46
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Ven 1 Mar - 15:48 | |
| Quoi? tu as déjà le tome en ta possession et tu le traduit déjà? NON! bandes de tentatrices je ne le lirais que lorsqu’il sera fini. Sinon vais me péter mon ulcère. veuillez m'excuser je me retire pour un temps indéterminé je doit lire les 2 tomes qui le précèdent avant d'attaquer celui-là. heu non sérieux tu as déjà commencer la traduction? sais-tu seulement à quel point nous te vénérons? | |
| | | RaiinbOow
Messages : 847 Date d'inscription : 11/09/2012 Age : 32 Localisation : Arkham City
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Sam 2 Mar - 18:59 | |
| Ah !! Je ne craquerais pas, Je ne craquerais pas, JE NE CRAQUERAIS PAS !! Ok juste le prélude alors pour avoir un avant goût Anne tu est génial | |
| | | filoute Modérateurs
Messages : 3469 Date d'inscription : 26/04/2012 Age : 49
| | | | RaiinbOow
Messages : 847 Date d'inscription : 11/09/2012 Age : 32 Localisation : Arkham City
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Sam 2 Mar - 21:43 | |
| Bon courage Filoute !!! Enorme erreur de ma part d'avoir pensé que je pourrais me contenter du prélude Mais que voulez-vous ... C'est Blay & Quhinn | |
| | | filoute Modérateurs
Messages : 3469 Date d'inscription : 26/04/2012 Age : 49
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Sam 2 Mar - 22:13 | |
| le site m'apppppeeelllllleeee!!!! mais je résistteeeeuuuhhh | |
| | | nikita
Messages : 1143 Date d'inscription : 22/02/2013 Age : 46
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Sam 2 Mar - 22:36 | |
| lol Je vois que je ne suis pas la seule à souffrir. | |
| | | guyla
Messages : 432 Date d'inscription : 14/12/2012 Age : 32
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Dim 3 Mar - 10:41 | |
| j'ai pas réussit à m'en tenir au prelude!! mais ça je le savais déjà! quand j'ai vu qu'il y avait le début en ligne mes yeux n'ont pas voulu quitter l'écran... maintenant il n'y a plus qu'à attendre la suite avec beaucoup beaucoup de patience... mais ça va être super dur!! | |
| | | Choobidoo
Messages : 23 Date d'inscription : 11/04/2012 Age : 36 Localisation : Lille
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Lun 4 Mar - 20:03 | |
| Ah lalaaaaaa...... Je n'ai même pas les mots pour te remercier Anne !!!!.! Merci beaucoup pour ce début qui est déjà plus qu'hallechant!!!! Hâte de découvrir la suite!!!!! Merci encore pour tout tu es la meilleure!!!!! Alors moi qui ai du mal à décrocher du forum.... Ça va être encore plus difficile maintenant que Anne est en pleine traduction... | |
| | | ellienoa
Messages : 1506 Date d'inscription : 02/05/2012 Age : 43 Localisation : perdue dans une bibliothèque
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Lun 4 Mar - 21:08 | |
| filoute je te comprends, je retiens ma main pour ne pas cliquer, si je lis maintenant je vais être frustrée de ne pas avoir la suite!! je résiiiiiiiiiiiiiiisssssssssste...... | |
| | | Syn
Messages : 156 Date d'inscription : 31/01/2013 Age : 39 Localisation : Bordeaux
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE Lun 4 Mar - 21:30 | |
| Roh votre enthousiasme me donne envie de découvrir cette série, malgré mon appréhension pour la romance !! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE | |
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| | | | WARD JR - LA CONFRERIE DE LA DAGUE NOIRE - Tome 11 : Lover at Last - NEWS, SPOILERS 3e PARTIE | |
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